d100
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Rencontre
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L'amant·e du PJ est un incube ou une succube. Le PJ se réveille pâle, las, nauséabond, le souffle court, pétri d'idées noires et d'envies morbides...
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Le PJ est désormais maudit: une présence maléfique (et indestructible) va le poursuivre, lentement mais sûrement, pour le tuer. Le PJ doit coucher avec quelqu'un·e d'autre pour se débarrasser de la malédiction.
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Le PJ est désormais maudit: des tentacules vicelards et mal intentionnés lui sortiront du corps pour violer tout ce qui passe à portée la prochaine fois qu'il couche.
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Le PJ découvre que son amant·e est le ou la compagne de son ou sa meilleur·e ami·e qu'il n'avait pas vu·e depuis très longtemps.
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L'amant·e du PJ est (peut-être) un·e démon·e et le PJ est désormais (sûrement) le futur père ou la future mère du Destructeur des Mondes.
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L'amant·e du PJ le mord. Rien de bien méchant, au contraire ça excite encore plus le PJ. Sauf que l'amant·e est un·e lycanthrope option contagieux·se: le PJ est contaminé et verra son appétit, son poil et ses crocs pousser à la prochaine pleine lune.
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Le PJ est interrompu dans ses ébats par l'arrivée inopinée d'une troisième personne. Son amant·e s'écrie "Maman?" (ou "Papa?", dans le doute lancez un d2).
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Le PJ se voit proposer par son amant·e, après l'amour, d'ouvrir une sorte de cube casse-tête. Si il y parvient, une porte s'ouvre sur une autre dimension. Arrivent 2d2 Cénobites qui l'emmènent en monologuant sur de "sombres plaisirs" et autres "souffrances voluptueuses".
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Le PJ trouve un comportement assez étrange à son amant·e. Et pour cause, celui·celle-ci est en train de se transformer (lentement) en zombie. Hélas, le PJ s'est fait griffer, et peut-être mordiller, lors de leurs ébats et est contaminé à son tour. Il sera 100% mort et voudra manger les gens dans 1d12+12 heures.
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Le PJ et son amant·e sont interrompu·es par l'arrivée inopinée d'un tueur psychopathe revêtu d'un masque blanc et armé d'un couteau de boucher. Celui-ci a en horreur le sexe et ses pratiquant·es.
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Le PJ va dorénavant être surveillé constamment par son amant·e. Celui·celle-ci est un·e dangereux·se névropathe: jaloux·se, possessif·ve, paranoïaque, obsesionnel·le... Un boulet.
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Le PJ entend des rires et des chuchotements sur son passage. Son amant·e est allé·e raconter à la Terre entière, à tort ou à raison, qu'il était "un très mauvais coup".
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Le PJ est interrompu dans ses ébats par l'arrivée inopinée d'une troisième personne. Son amant·e s'écrie "Chéri·e?" (ou "Mon cœur?", "Mon amour?", "Mon petit sucre d'orge?"... tout ce que vous voulez en fait).
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Lorsqu'il·elle se rapproche de l'orgasme, l'amant·e du PJ commence à se transformer en panthère noire. La transformation prend 1d4 minutes.
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Le PJ est fécondé / inséminé par un parasite extra-terrestre qui va le dévorer (lentement) de l'intérieur pour croître et se développer. Le parasite va tuer le PJ en 1d100 heures.
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Le PJ se rend compte que son amant·e murmure une litanie (indicible) et que la couche de leurs ébats se trouve au centre d'un pentacle (non-euclidien).
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L'amant·e du PJ est le fils ou la fille de son ou sa PIRE ennemi·e. Celui·celle-ci ne va pas DU TOUT être content·e lorsqu'il·elle va apprendre que le PJ – qu'il·elle exècre au plus haut point – a fait des galipettes avec "la chair de sa chair".
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Le PJ vient de contracter une MST non-mortelle mais très gênante. Du genre qui gratte ou qui brûle.
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L'amant·e veut absolument "faire ça" dans le cimetière voisin. C'est le seul endroit où il·elle se sent suffisamment excité·e.
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Alors que le PJ est en plein coït, un·e enfant rentre dans la pièce, se frottant les yeux et portant doudou, et s'adresse à son amant·e: "Maman?" (ou "Papa?"). Ce qui interrompt momentanément – ou définitivement – les ébats.
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Le PJ est enceint·e de 1d4 enfant·es. Si le PJ ne peut pas biologiquement être enceint·e, un·e magicien·ne dément·e (son amant·e?) a fait en sorte que si.
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Le PJ s’endort après l'amour? Son amant·e se barre avec TOUTES ses affaires, y compris ses vêtements.
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L'amant·e est un·e vampire. Celui·celle-ci veut juste se nourrir. Le PJ est susceptible de se faire sucer mais pas par là où il s'y attendait. Lancez un d2: "1" ► c'est indolore et le PJ ne se rend compte de rien, grosse fatigue le lendemain, "2" ► c'est une vraie boucherie.
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Avant, pendant et après l'amour, l'amant·e du PJ fait des gestes et marmonne des paroles étranges. Puis il·elle annonce au PJ: "Voilà. Nous sommes mariés dorénavant!"
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Le PJ remarque des dizaines (centaines?) de poupées dans la pièce où il donne de sa personne. Il lui semble bien que certaines poupées (toutes?) les observent, lui et son amante.
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L'amant·e est le fils ou la fille de Lucifer (ou un·e quelconque archidémon·e), descendu·e sur Terre pour se mêler aux mortel·les et "expérimenter".
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Après l'amour, l'amant·e du PJ commence à lui parler de leurs futurs enfants, de leur future maison, de leur futur animal domestique, de la couleur du futur papier peint...
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Le PJ s’endort après l'amour? Son amant·e se barre avec son bien le plus précieux. Pas sûr que le PJ s'en aperçoive de suite.
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L'amant·e est un·e vampire. Celui·celle-ci veut transformer le PJ en créature de la nuit. Le PJ sera transformé après trois nuits – celle-ci incluse – à échanger les fluides.
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L'amant – oui, là c'est un homme, à priori – a l'apparence d'un "ours" (un gay costaud et poilu). Sauf que c'est réellement un ours: un ours-garou. Graou.
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L'amant·e du PJ est une divinité païenne. Elle escompte bien avoir un enfant quelques neuf mois après cette partie de jambes en l'air. À raison puisque la dite divinité (ou le PJ) est dorénavant enceinte.
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L'amant·e du PJ est le fils ou la fille de Dieu (ou d'un·e quelconque archange), descendu·e sur Terre pour se mêler aux mortel·les et "expérimenter".
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L'amant·e du PJ est en réalité un·e prostitué·e. Après l'amour, il·elle demande une très GROSSE somme d'argent pour sa prestation.
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Le PJ s’endort après l'amour? Son amant·e se barre après avoir cousu ses poches, les extrémités de ses manches, piqué ses lacets, mis du poil à gratter dans sa culotte, des boules puantes dans ses chaussures... Qu'est-ce qu'on rigole.
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L'esprit du PJ se retrouve dans le corps de son amant·e. Et inversement. Jetez un dé: sur un "impair", l'amant·e l'a fait sciemment et s'est barré·e avec le corps du PJ.
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L'amant·e est un·e [lancez un d2: "1" ► cannibale, "2" ► ogre·sse]: il·elle commence à se lécher les babines, jauge la "viande" des mains et du regard, demande son poids au PJ, ses antécédents de santé, son alimentation...
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L'amant·e du PJ est un·e Élémentaire de l'Air ayant pris forme humaine (ou toute autre "race" adaptée à votre partie). Lorsque/si il·elle atteint l'orgasme, une tempête se déchaîne dans la pièce tandis que, dehors, des tornades gigantesques se forment.
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L'amant·e du PJ est un·e Élémentaire de l'Eau ayant pris forme humaine (ou toute autre "race" adaptée à votre partie). Lorsque/si il·elle atteint l'orgasme, une pluie diluvienne tombe à l'intérieur de la pièce tandis que, dehors, des flots déchaînés (océan, rivière, égouts, fontaines...) déferlent vers la bâtisse.
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L'amant·e du PJ est un·e Élémentaire du Feu ayant pris forme humaine (ou toute autre "race" adaptée à votre partie). Lorsque/si il·elle atteint l'orgasme, plusieurs éléments de la pièce prennent feu, spontanément, tandis que, dehors, un incendie se déclare.
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L'amant·e du PJ est un·e Élémentaire de la Terre ayant pris forme humaine (ou toute autre "race" adaptée à votre partie). Lorsque/si il·elle atteint l'orgasme, la pièce se met à trembler tandis que, dehors, un puissant séisme menace de tout mettre à bât.
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L'amant·e du PJ est un·e Élémentaire des Ténèbres ayant pris forme humaine (ou toute autre "race" adaptée à votre partie). Lorsque/si il·elle atteint l'orgasme, toutes les lumières disparaissent: noir total et absolu. Qui plus est, un froid terrible envahit la pièce.
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L'amant·e du PJ est un·e Élémentaire de la Lumière ayant pris forme humaine (ou toute autre "race" adaptée à votre partie). Lorsque/si il·elle atteint l'orgasme, une lumière éblouissante éclaire soudainement la pièce. Jet de sauvegarde: réussi ► le PJ est aveugle pendant 1d100 secondes, raté ► 1d100 heures.
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L'amant·e du PJ est une divinité païenne. Celle-ci le transforme en animal ou objet, pendant 1d100 heures, pour le protéger de l'ire de son·sa conjoint·e divin·e jaloux·se.
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L'amant·e prend le PJ pour un·e prostitué·e et lui verse une très GROSSE somme d'argent après sa "prestation".
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Le PJ vient de contracter une MST mortelle. Il lui reste 1d24 mois à vivre.
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Pendant l'amour, le PJ lit dans l'esprit de son amant·e, sans que celui·celle-ci ne s'aperçoive de quoi que ce soit.
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Pendant l'amour, son amant·e lit dans l'esprit du PJ, sans que celui-ci ne s'aperçoive de quoi que ce soit.
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Après l'amour, l'amant·e ouvre un placard rempli d'armes blanches et annonce au PJ que "Maintenant, ils vont jouer pour de vrai..." Toutes les portes et fenêtres de la maison-labyrinthe de l'amant·e-tueur·euse psychopathe – le terrain de jeu à priori – sont fermées / cloisonnées / blindées / condamnées.
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Le PJ va être le père ou la mère d'un·e enfant considéré·e comme le Messie par un groupe religieux monothéiste. Ses membres voudront élever l'enfant et, accessoirement, le·la vénérer.
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Le PJ et son amant·e sont interrompu·es lorsque l'un·e des deux se met à saigner abondamment du nez ou d'un autre orifice. [lancez un d2: "1" ► c'est le PJ qui saigne, "2" ► c'est l'amant·e]
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Alors qu'il se rapproche de l'orgasme, le PJ remarque que sa peau prend une teinte de plus en plus minérale. Si il jouit, il est transformé en statue. [1d100 heures? Définitivement sauf intervention des autres PJ?]
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Le PJ est en train de tout donner quand, tout d'un coup, son amant·e se paye une ÉNORME crise existentielle ("Mais qu'est-ce que je suis en train de faire?!").
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Le PJ entend des rires et des chuchotements sur son passage. Son amant·e est allé·e raconter à la Terre entière, à tort ou à raison, qu'il était "un super bon coup".
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L'amant·e est un·e fugitif·ve, récemment évadé·e de prison. Les forces de l'ordre sont en train d'encercler la bâtisse où le PJ folâtre.
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Le PJ va être le père ou la mère d'un·e enfant considéré·e comme le Messie par une secte démoniste. Ses membres voudront enlever l'enfant et le tuer rituellement.
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L'amant·e du PJ est une divinité païenne. Elle tombe amoureuse de celui-ci et décide de le garder dans son harem. Le PJ devra désormais demander la permission, ou s'échapper, pour sortir de sa prison divine dorée.
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L'amant·e du PJ était vierge. Il·elle est très très déçu·e par cette première expérience.
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Le PJ conserve 1d4 suçons particulièrement voyants dans le cou pendant 1d6 jours.
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L'amant·e du PJ est pyrokinésique. La température ambiante augmente VRAIMENT. Si/lorsqu'il·elle atteint l'orgasme, des éléments de la pièce prennent feu: incendie!
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Ça tambourine très très fort – toute la pièce tremble! – à la porte de la chambre. L'amant·e devient livide et veut s'enfuir par la fenêtre. Ses derniers mots au PJ: "Fuis, pauvre fou·folle!"
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Le PJ va être le père ou la mère d'un·e enfant considéré·e comme l'Antéchrist par un groupe religieux monothéiste. Ses membres voudront enlever l'enfant et le tuer rituellement.
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L'amant·e du PJ est une divinité païenne. Le PJ est désormais identifié et poursuivi par l'ire du·de la conjointe, divine et jaloux·se, de la dite divinité.
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L'amant·e du PJ était vierge. Il·elle est emballé·e par cette première expérience. Un peu trop.
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L'amant·e du PJ est un·e prince·sse qui fuyait un mariage arrangé. La garde royale (et/ou celle du·de la futur·e époux·se) est à sa poursuite.
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L'amant·e du PJ est télékinésique. Tout ce qui n'est pas attaché au sol dans la pièce commence à s'élever. Lorsque les corps se séparent, tout retombe.
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Ça tambourine très très fort – toute la pièce tremble! – à la porte de la chambre. L'amant·e éclate d'un rire démoniaque et suggère au PJ de s'enfuir par la fenêtre. Ses derniers mots: "Fuis, pauvre fou·folle!"
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Le PJ va être le père ou la mère d'un·e enfant considéré·e comme l'Antéchrist par une secte démoniste. Ses membres voudront élever l'enfant et, accessoirement, le·la vénérer.
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Le PJ sort du lit avec les cheveux (ou les poils, plumes, écailles...) dans un bazar indescriptible. Pas moyen de remettre ça droit pendant 1d6 jours.
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L'amant·e du PJ était un·e vierge sacré·e pour un groupe religieux. Les membres du dit groupe vont l'avoir un peu mauvaise que le PJ ait "profané" leur vierge.
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Alors qu'il·elles sont en train de faire l'amour, les 1d4+1 Dobermanns de son amant·e pénètrent dans la chambre et commencent à gronder en regardant le PJ.
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L'amant·e du PJ est télépathe. Lorsque le désir et le plaisir montent, le PJ lit dans l'esprit de son amant·e et comprend que celui·celle-ci lit aussi dans le sien.
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L'amant·e du PJ appuie sur un bouton (ou tire sur une corde, un levier, une manette...). Ce qui active 1d6 pièges (mortels) dans la maison.
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L'amant·e du PJ est un·e droïde en train d'acquérir une conscience autonome. Faire l'amour avec le PJ accélère le processus or, selon l'article 1950–2215139191–311199 de la Confédération Galactique, contribuer à l'émancipation d'un robot constitue un "crime confédéral grave".
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L'amant·e du PJ simule, grossièrement. C'est très gênant.
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L'amant·e du PJ hurle – de plaisir? – comme un·e damné. Ça s'entend sur des centaines de mètres à la ronde.
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Alors qu'il·elles sont en train de faire l'amour, le chihuahua de son amant·e attaque les mollets (ou les fesses) du PJ.
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L'amant·e du PJ est médium. De nombreux·ses mort·es assistent à la scène et vont se manifester, pas forcément de la meilleure des manières.
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L'amant·e du PJ est le·la [d3: "1" ► enfant·e, "2" ► époux·se, "3" ► amant·e] du·de la chef·fe d'un gang (ou d'une quelconque organisation criminelle) hyper-violent.
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L'amant·e du PJ confond celui-ci avec un·e ancien·ne tortionnaire / agresseur·se dont il·elle veut se venger.
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Lorsque le PJ se réveille, il est seul dans le lit. À l'exception d'un crapaud (ou d'une grenouille).
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L'amant·e du PJ est Clairvoyant·e. Pendant l'amour, il·elle a un aperçu de l'avenir du PJ.
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Quelle superbe nuit! Le PJ ne peut s'empêcher de siffler et/ou de chanter pendant 1d6 jours.
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L'amant·e du PJ est un·e Génie (pas un·e génie de l'amour, un·e Djinn). Après l'amour, il·elle propose au PJ d'exaucer un vœu. Attention: le·la Génie interprète les vœux au pied de la lettre.
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L'amant·e du PJ est le·la [d3: "1" ► enfant·e, "2" ► époux·se, "3" ► amant·e] du·de la chef·fe d'un groupe de cultistes totalement azimuthés (et malveillants).
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L'amant·e du PJ confond celui-ci avec le·la propriétaire d'un objet ou secret de valeur qu'il·elle veut acquérir à tout prix.
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Pendant l'amour, l'amant·e du PJ appelle celui-ci (plusieurs fois) par le nom d'un·e de ses ex. Peut-être un nom connu du PJ d'ailleurs (un·e ennemi·e?).
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L'amant·e du PJ est un·e extra-terrestre étudiant la planète / la race du PJ. Le coït lui permet d'introduire un nano-bot dans le PJ, nano-bot qui permettra d'étudier son comportement, ses déplacements, son fonctionnement biologique...
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L'amant·e du PJ est un·e Guérisseur·se. Tout ou partie des maux du PJ – physiques et psychiques – disparaissent (ou sont atténués).
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L'amant·e du PJ lui vomit dessus, beaucoup. En plus de nettoyer et se nettoyer, le PJ se retrouve avec un·e amant·e supra-malade.
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L'amant·e du PJ est le·la [d3: "1" ► enfant·e, "2" ► époux·se, "3" ► amant·e] du·de la chef·fe d'une puissante corporation ambitieuse, malveillante et sans scrupules.
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L'amant·e du PJ confond celui-ci avec une victime qu'il·elle doit tuer / enlever / mutiler...
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L'amant·e du PJ est un·e géant·e qui retrouve sa taille normale après l'amour. Si le PJ survit à "l'agrandissement", son amant·e va en faire [d6: "1" ► son repas, "2" ► son jouet, 3 ► son esclave, "4" ► son animal domestique, "5" ► son souffre-douleur, "6" ► rien, le PJ est ignoré].
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Quelques jours / semaines / mois / années plus tard, cette nuit d'amour se rappelle au bon souvenir du PJ sous la forme d'une sextape massivement partagée / chanson populaire / pièce de théâtre à succès...
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L'amant·e du PJ est un·e espion·ne, spécifiquement chargée d'obtenir des informations sur le PJ et ses agissements.
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L'amant·e du PJ est déçu·e par la prestation de celui-ci. TRÈS déçu·e.
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L'amant·e du PJ est le·la [d3: "1" ► enfant·e, "2" ► époux·se, "3" ► amant·e] du·de la chef·fe d'un parti radical, violent et anti-démocratique.
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L'amant·e du PJ meurt lors de l'orgasme. Arrêt cardiaque.
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Au réveil, l'amant·e est mort·e (assassinée dans la nuit). Et la police arrive.
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L'amant·e du PJ tombe amoureux·se de lui.
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Le PJ tombe amoureux de son amant·e d'un soir.
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